Bibliothèques

Eric Viot

Un nouveau livre sur les fusillés de 14-18 à travers le destin tragique de l’officier Wolff

Infatigable militant de la cause des fusillés de la Grande Guerre, Eric Viot signe un nouveau livre consacré au seul officier supérieur français passé par le peloton d’exécution.

Caporal Lechat

« Fusillé pour l’exemple », au pays du Caporal Lechat, la mémoire ne vacille pas

Le 17 mars 1915, sur le front de la Première Guerre mondiale, les « Caporaux de Souain » étaient « fusillés pour l’exemple », pour « refus d’obéissance en présence de l’ennemi ». À l’occasion d’une commémoration, un nouvel hommage leur a été rendu en Bretagne, dans le village natal de l’un des fusillés, Lucien Lechat.

Commandant Frédéric-Henri Wolff

Le cadavre dans le placard de la Grande Guerre

Cent dix ans après le début de la Première Guerre mondiale, des histoires continuent de ressortir de l’ombre. À l’occasion du 11-Novembre, France 24 vous propose de découvrir celle de Frédéric-Henri Wolff, le seul officier supérieur français fusillé pour l’exemple. L’auteur Éric Viot, qui se bat depuis des années pour obtenir sa réhabilitation, lui a rendu hommage dans un ouvrage. 

LE MIROIR Noël 1914

Le Miroir 25/12/1914

La messe célébrée en plein air, sur le front

Le miroir 28 02 1915

Le Miroir 28/02/1915

« Les Allemands restés grands amateurs de pendules »
Ce numéro contient des informations sur la guerre, des récits de la vie quotidienne, des illustrations et des photographies qui reflètent les événements de l’époque.

Sur le vif

Sur le vif 22/05/1915

« Photos et croquis de guerre »
Sur le Vif » est un ancien périodique français, souvent associé à des publications illustrées. Lancé dans les années 1920, il se concentrait sur des sujets d’actualité, des reportages et des récits de la vie quotidienne.

Le miroir

Le Miroir 11/07/1915

« M Poincaré présentant son ancien capitaine aux généraux Dubail et Roques »
Ce numéro contient des informations sur la guerre, des récits de la vie quotidienne, des illustrations et des photographies qui reflètent les événements de l’époque.

La Guerre Photographiée

La Guerre Photographiée 18/11/1915

« Un moment de repos »
Il a été publié principalement entre 1915 et 1918, durant le conflit. Ces publications visaient à documenter les événements militaires et la vie des soldats, souvent avec un accent sur l’impact de la guerre sur la société. Elles ont joué un rôle important dans la diffusion d’images de la guerre auprès du grand public, contribuant ainsi à la mémoire collective de ce conflit majeur.

J'ai vu, un Roi Nicolas 1er de Monténégro

J’ai vu 11/12/1915

« Un roi,  Nicolas 1er de Monténégro »
Le journal « J’ai Vu » du 11 décembre 1915 était un périodique français qui a été publié pendant la Première Guerre mondiale. Ce journal se distinguait par son approche journalistique et ses reportages de première main. Il était souvent écrit par des soldats ou des correspondants de guerre, partageant des récits d’expériences vécues sur le front.

Verdun, 1916

Verdun, 1916

L’enfer de Verdun avec les témoignages de plusieurs milliers d’anciens combattants.

Les cailloux bleus

Les cailloux bleus

Un jour, Philomène enfant a donné à son ami Adrien deux petits cailloux bleus pour qu’ils lui portent chance. Deux petits cailloux bleus… mais la guerre arrive…

Capitaine Conan

Capitaine Conan

 » Tuer un type, tout le monde pouvait le faire, mais, en tuant, loger la peur dans le crâne de dix mille autres, ça c’était notre boulot ! Pour ça, il fallait y aller au couteau, comprends-tu ? C’est le couteau qui a gagné la guerre, pas le canon !  » Grâce à ce récit exceptionnel de sincérité, c’est le masque hideux de la guerre qui tombe d’un coup, emportant avec lui des pans entiers de la souffrance humaine.
Pour qu’il ne soit plus possible de dire qu’on ne savait pas, le romancier, ici, nous dit tout de l’âme guerrière. Récompensé par le prix Goncourt en 1934, Capitaine Conan occupe une place à part au sein de l’œuvre abondante de Roger Vercel. Nourri par l’expérience personnelle de son auteur qui se battit sur le front d’Orient, ce roman – qui donna lieu au célèbre film de Bertrand Tavernier – plongera les élèves au cœur de la Première Guerre mondiale.

Les blessures de l'âme

Les blessures de l’âme

Eté 1914, instituteur dans un petit village de province, il prépare son départ pour la guerre. Il passera quatre ans dans cet enfer à voir mourir de pauvres types. Quatre longues années pendant lesquelles lentement il va sombrer, cherchant le réconfort dans l’alcool. Contrairement à Georges, son coprs ne porte pas les traces de ses blessures, lui c’est son âme qui a été meurtrie. Ni sa femme, ni son fils Jean, ni ses chères petites têtes blondes ne pourront lui faire oublier, Soreau, Bersod, Minard, André, François, et bien d’autres camarades, morts à cause de cette guerre….

L'ouest dans la grande guerre

L’ouest dans la grande guerre

L’Ouest dans la Grande Guerre explore la période de 1914 à 1919, retraçant les événements majeurs et présentant les régiments de l’Ouest. Le hors-série inclut de nombreux témoignages de soldats, des photos d’objets quotidiens, ainsi que des aspects de la vie à l’arrière, rendant hommage aux familles des Poilus.

Ceux de 14, Maurice Genevoix

Ceux de 14

1er août 1914 : la France décrète la mobilisation générale. Le 2 août, Genevoix, brillant normalien qui n’a pas 24 ans, rejoint le 106e régiment d’infanterie comme sous-lieutenant… Neuf mois plus tard, il est grièvement blessé : c’est la fin de la guerre pour le jeune homme. Entre ce mois d’août 1914 et les trois balles qui l’atteignent en avril 1915, Genevoix aura participé à la bataille de la Marne, marché sur Verdun et, pendant quatre longs mois, défendu les Eparges.
Ce long récit – »Ceux de 14″ comprend au total près de 700 pages-, Maurice Genevoix l’a rédigé à partir de ses notes prises sous le feu de l’action. C’est un témoignage de soldat, certes officiers, mais qui a vécu la guerre au milieu des soldats, avec les combats, les tranchées, les mouvements, le bruit, la soif, la boue. Le style littéraire est très fluide, les dialogues sont poignants de vérités, le rythme associe longueur et rapidité comme pour se faire l’écho de l’attente dans les tranchées et de la vitesse des tirs. A chaque page, on se demande « mais quand est-ce que les combats vont cesser, stop, plus jamais cela » ! C’est si authentique. Si pris sur le vif. Si Vrai.
 » Notre guerre… Vous et moi, quelques hommes, une centaine que j’ai connus… Je ne sais que cela, les gestes que nous avons faits, notre souffrance et notre gaieté, les mots que nous disions, les visages que nous avions parmi les autres visages, et votre mort. « 

Cartes postales de poilus

Cartes postales de poilus

La Grande Guerre racontée par les mots simples et déchirants des soldats. Durant la Première Guerre mondiale, des centaines de millions de cartes postales ont été envoyées. Elles nous révèlent mieux que tout autre document comment l’engagement, le combat, la séparation et l’attente furent vécus par les soldats français et leurs familles.

La peur

La peur

L’histoire d’un jeune homme qui n’a pas envie de mourir, soldat, lors d’une Guerre que l’on dît Grande. Ce pur chef d’œuvre brosse le portrait d’un héros bouleversant et inoubliable, Jean Dartemont, alias G.C.

-Répondez donc. On vous demande ce que vous avez fait !
-Oui ? …. et bien ! j’ai marché le jour et la nuit, sans savoir où j’allais. J’ai fait l’exercice , passé des revues, creusé des tranchées, transporté des fils de fer, des sacs à terre, veillé au créneau. j’ai eu faim sans avoir à manger, soif sans avoir à boire, sommeil sans pouvoir dormir, froid sans pouvoir me réchauffer, et des poux sans pouvoir toujours me gratter….. voilà !
-C’est tout ?
-Oui, c’est tout …. Ou plutôt, non, ce n’est rien. Je vais vous dire la grande occupation de la guerre, la seule qui compte : J’AI EU PEUR.

La première guerre mondiale

La première guerre mondiale

Cataclysme inédit dans l’histoire de l’humanité, la Grande Guerre, bien que hélas dépassée en horreur depuis, conserve jusqu’à ce jour une aura toute particulière. Elle fascine et suscite les interrogations des descendants de ces poilus dont l’abnégation demeure une sorte d’énigme.

L'ambulance 13

L’ambulance 13

Je m’ appelle Louis-Charles Bouteloup, je suis chirurgien, jeune diplômé de médecine et en ce premier jour de l’ année 1916, je rejoins le service de santé qui opère au front. Il me faudra moins de 24h pour remettre en question tout ce qu’ on m’ a appris et savoir qu’ on ne peut expliquer à des soldats qu’ ils risquent de mourir pour des appétits de pouvoir locaux et des décisions de courtisans. Mon unité , L’ Ambulance 13″ composée d’une poignée de poilus infirmiers, va devenir ma nouvelle famille.
En  neuf tomes

Des ambassadeurs au pavé

Eugénie Buffet, des ambassadeurs au pavé

Eugénie Buffet, caporale des Poilus, chanteuse sur les fronts et dans les ambulances, chevalier de la légion d’honneur. Elle fut la créatrice de « La Chanson aux blessées ».

« La chanson aux Blessés » était une institution de l’Etat qui rassemblait des fonds et des artistes pour distraire et réconforter les soldats sur les lieux du conflit. Eugénie Buffet est à l’initiative de cela. Elle a été décorée à ce titre et ses obsèques rassemblèrent les autorités militaires.

Ecrire sa guerre

Ecrire sa guerre

Environ 35 000 Canadiens français ont combattu ou ont servi lors de la Première Guerre mondiale. Malheureusement, la plupart d’entre eux se sont faits discrets et n’ont pas laissé de témoignages publiés. Que sait-on de ces combattants? Comment ont-ils vécu leur guerre? Comment l’ont-ils racontée à leurs proches? 
Cet ouvrage tente de combler ce silence en laissant la parole à ces combattants, aujourd’hui tous disparus, par le biais de lettres, de carnets ou de journaux personnels. 
L’ouvrage réunit les témoignages, la plupart inédits de plus d’une cinquantaine de combattants.

Histoire avec une grande Hache

Histoire avec une grande Hache

Tranches de vies de soldats anonymes de la guerre 14-18, racontées à travers l’utilisation des objets dans leur quotidien.

Le récit est bilingue français / allemand.

Les secrets de la Grande Guerre

Les secrets de la Grande Guerre

Pourquoi les soldats français sont-ils entrés en guerre en 1914 en « pantalon garance » ? Par souci d’élégance ?
Les taxis de la Marne, héros de la Grande Guerre ? Les Sammies venus d’Amérique, sauveurs de l’Entente ? Des légendes dorées de la Première Guerre mondiale !
Le lieutenant-colonel Rémy Porte est spécialiste de l’histoire de la Première Guerre mondiale.

Le soldat inconnu vivant

Le soldat inconnu vivant

Le 1er février 1918, un soldat amnésique est interné à l’asile psychiatrique du Rhône. Tous les moyens sont employés pour l’identifier et le rendre à sa famille. Son portrait s’étale à la une des journaux et est affiché sur les portes de toutes les mairies. Plusieurs centaines de familles reconnaissent en lui un père, un fils ou un frère disparu à la guerre. Comment départager ces familles qui n’arrivent pas à faire le deuil de leur proche ? Une longue et douloureuse enquête débute.

Mourir à Verdun

Mourir à Verdun

La lutte pour la survie au cœur de l’enfer.
21 février 1916 : un déluge de feu craché par 1300 obusiers, s’abat sur les trois divisions françaises tapies dans les forts de Verdun et dans les tranchées alentour. Après neuf heures de bombardement, les troupes d’assaut allemandes s’élancent…/…Ainsi commence la plus grande bataille de la première guerre mondiale. Pendant huit mois Français et Allemands, vont se livrer une lutte sans merci….

Paroles de poilus

Paroles de poilus , lettres et carnets du front

Ils avaient 17 ans ou 25 ans, se prénommaient Gaston, Louis, René, ils étaient palefreniers, boulangers, colporteurs, ouvriers ou bourgeois. Ils devinrent soudainement artilleurs, fantassins, brancardiers…..

MUSIDORA - Un certain regard

MUSIDORA – Un certain regard

Musidora a été une exceptionnelle marraine de guerre (14-18) et le livre présente les lettres des poilus à cette actrice très aimée.

20 ans, paysan, poète et... poilu

20 ans, paysan, poète et… poilu !

(…) ne vous faites pas de mauvais sang, car c’est d’un cœur léger que je pars.
(…) je reviens de quatre jours de tranchées et, rassurez-vous, je suis bien portant ! 
(…) dans les tranchées, on court très peu de risques…                           

C’est ainsi que René Graciet tranquillise sa famille. À travers le courrier adressé à ses parents, on suit l’itinéraire d’un paysan de 20 ans qui découvre la France avec la guerre.

Max Lumière. Médecin photographe aux tranchées

Max Lumière. Médecin photographe aux tranchées

Max Lumière, médecin aux tranchées chez les zouaves, était un esprit particulièrement curieux. Muni de son appareil photo, il a pris des clichés de tout ce qui était étonnant ou intéressant, au front comme à l’arrière. Il a ramené ainsi plus de 500 photographies concernant tous les domaines : les zouaves, bien sûr, mais aussi les autocanons de 75, l’artillerie, les animaux, la mort et le deuil, les jeux… La plupart des sites du front sont photographiés : Verdun, la Somme, le Chemin des Dames, le Mont-Cornillet, Pont-à-Mousson, le Matz, etc. Toutes ces photographies sont inédites jusqu’à aujourd’hui.

Les Dames du Chemin

Les Dames du Chemin

Ce 16 avril 1917, nous voici à nouveau dans les entrailles de l’enfer. Nous attendons le coup de sifflet pour monter à l’assaut.J’ai conjugué le verbe attendre à tous les temps. J’ai attendu sans angoisse la lettre de mobilisation. J’attendais avec impatience les lettres et les colis, ces traits d’union avec l’arrière. Aujourd’hui, j’attends la mort, cette faux qui m’a seulement effleuré durant deux ans. Camarde, camarade…Des recherches sur son grand-oncle tué au Chemin des Dames ont amené Maryline Martin à écrire ce recueil de nouvelles sur la Grande Guerre.

l'agenda du centenaire

L’agenda du centenaire

 Au-delà de son caractère pratique, cet ouvrage réunit l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur l’histoire de la guerre de 14-18. Imprimé sur un élégant papier de couleur ivoire, il inclut de nombreuses reproductions de documents noir et blanc ou en couleur d’époque …/…
Retraçant les grandes heures du conflit à l’aide de textes, d’illustrations et de photos, l’Agenda du Centenaire 1914-2014 montre pourquoi et comment « le sort des armes » a tourné en faveur des Alliés au détriment de l’Axe …./…
À la fin de l’agenda figurent notamment une chronologie détaillée des événements, la carte du front occidental, la biographie des principaux personnages liés au conflit… et le texte de la célèbre Chanson de Craonne.

Comprendre le monument aux morts

Comprendre le monument aux morts

Lieu du souvenir, lieu de mémoire, lieu d’histoire.
Poser la question de la place du monument aux morts, de sa pertinence dans le paysage des contemporains et du sens qu’il renferme.
Il est là depuis des lustres, scellé dans le présent avec l’assurance de l’éternité. Pourtant quels regards se posent sur lui ? Les gestes du quotidien le contournent. Muet, invisible, hors d’atteinte, il est né du souvenir pour finir monument de l’oubli. Lieu sacralisé par la mémoire, il cherche sa dimension historique. Le monument aux morts serait-il devenu un « non-lieu », un de ces endroits de l’évitement et du passage fugitif ?

La ronce et le coquelicot

La ronce et le coquelicot

Mars 1919.
Quelque part, près de Reims dévastée. Le mont Cornillet, inquiétant, sombre, veille sur la plaine. La plaine vide.
Trichet, fraîchement démobilisé, revient dans le pays de son enfance, zone rouge. De Nauroy, son village, il ne reste rien. La guerre a tout détruit.
Travot, aquarelliste, artiste de génie, à la suite d’une grave blessure à la face lors d’un vol d’observation, a renoncé à la peinture.
Deux hommes meurtris par la guerre et que lie un pacte étrange. Le souvenir ronge les âmes par-delà l’enfer et nourrit le drame qui couve.
Aujourd’hui, il s’agit pourtant de reconstruire.

Passionné d’histoire de la première guerre mondiale, Jackie WEISS nous offre pour son premier roman, une histoire surprenante que vous dévorerez avec délectation.
Pages 14-18

Pages 14-18

Cet ouvrage rassemble douze nouvelles inédites, dont le propos n’est pas de  se placer au plan de l’Histoire, comme cela sera fait l’année prochaine, mais au plan de la chronique régionale.  A partir de faits réels piochés dans le journal « l’Indépendant des Basses-Pyrénées » de l’année 1914, les auteurs ont exploré l’histoire locale au travers du prisme des sentiments humains : la mesquinerie, la bêtise, la méchanceté mais aussi l’amitié, l’amour, la douleur.

Une guerre d’hommes et de machines

Une guerre d’hommes et de machines

Désiré Sic, un photographe du génie 1914-1918
Plus d’un millier de clichés et d’autres documents divers ont été conservés par la famille. Une partie en est publiée ici, elle nous dit aujourd’hui ce qu’a pu être l’expérience singulière d’un combattant du génie…..la qualité esthétique des photographies participe d’une transmission poignante de l’expérience de cet « homme de guerre ».

Si on avait écouté Jaurés

Si on avait écouté Jaurés

En août 1914, le choc de la guerre est terrible. Charles Patard rejoint le 304e RI….Empreint d’humanité, son témoignage nous livre l’oinion d’un poilu opposé dès les premiers jours à la guerre.
Charles Patard est mobilisé comme soldat dès le début de la guerre, il a alors 30 ans, est marié et tient un commerce d’épicerie dans l’Orne. Présenté par sa petite fille Isabelle Jeger, ce livre rassemble un court récit ainsi qu’une correspondance.

Guerre à Mende

Guerre à Mende – Journal de l’arrière front 1914-1918

Albert Jurquet un témoignage inédit
Lorsque éclate la première guerre mondiale, Albert Jurquet est chef chef de division à la préfecture de Mende en Lozère. Dès le 26 juillet 1914, il tient un journal….Ce journal de l’arrière , tenu secret, ne sera redécouvert que dans les années 2000. Il s’agit d’une sorte de défouloir, un témoignage inédit sur la guerre à l’abri de la censure militaire très stricte à l’époque.

La guerre à coups d'hommes

La guerre à coups d’hommes

Burlioncourt, en Lorraine annexée, le 20 août 1914 en fin de matinée : malgré la canonnade, les coups de fusil et le fracas des mitrailleuses, le général Foch reste impassible. Autour de lui, près
d’une centaine d’hommes de la Division d’acier tergiverse tout en gesticulant au milieu du couloir de Morhange que la guerre vient d’embraser. Non loin, des villages brûlent tandis que des soldats français refluent parmi les charrettes et les canons tirés par des chevaux écumant de sueur.

On part en septembre

On part en septembre

Camille est né le 16 mars 1888 à Lodelinsart, en Belgique. Le 1er août 1914 il est mobilisé dans le 10ème de ligne et part défendre la position fortifiée de Namur. Son frère, Victor, quitte Anvers le 28 décembre 1907 à bord du paquebot Vaderland de la Red Star Line pour émigrer aux Etats Unis. « On part en septembre » est le récit romancé de leurs destins croisés. Une histoire ordinaire sur fond d’événements extraordinaires. De la Belle Epoque à la Grande Guerre.

Vitraux Morbihan

Vitraux Morbihan

Morbihan
Préface :
Monsieur Jean-Yves LE DRIAN Ministre de la Défense et des Anciens Combattants
Déjà fortement éprouvé lors de la Grande Guerre, au cours de laquelle il a donné à la France près de
23500 de ses enfants, le Morbihan a également énormément souffert durant la seconde guerre mondiale au cours des combats livrés pour libérer le pays, notamment autour de la poche de Lorient.
Les vitraux présentés dans cet ouvrage témoignent des souffrances endurées et du profond attachement des Bretons à leur pays.
Cet ouvrage vous permettra de découvrir en famille 27 communes : BERNE / BOHAL / BRANDERION / CLEGUEREC / FEREL / GUELTAS / GUER / GUIDEL / HEBIGNAC / HENNEBONT / LE FAOUET / LE CROISTY / LE ROC-SAINT-ANDRE / LIMERZEL / LORIENT / LOYAT / MELRAND / QUIBERON / RIANTEC / ROHAN /