Infatigable militant de la cause des fusillés de la Grande Guerre, Eric Viot signe un nouveau livre consacré au seul officier supérieur français passé par le peloton d’exécution.
Infatigable militant de la cause des fusillés de la Grande Guerre, Eric Viot signe un nouveau livre consacré au seul officier supérieur français passé par le peloton d’exécution.
Le 17 mars 1915, sur le front de la Première Guerre mondiale, les « Caporaux de Souain » étaient « fusillés pour l’exemple », pour « refus d’obéissance en présence de l’ennemi ». À l’occasion d’une commémoration, un nouvel hommage leur a été rendu en Bretagne, dans le village natal de l’un des fusillés, Lucien Lechat.
Cent dix ans après le début de la Première Guerre mondiale, des histoires continuent de ressortir de l’ombre. À l’occasion du 11-Novembre, France 24 vous propose de découvrir celle de Frédéric-Henri Wolff, le seul officier supérieur français fusillé pour l’exemple. L’auteur Éric Viot, qui se bat depuis des années pour obtenir sa réhabilitation, lui a rendu hommage dans un ouvrage.
La messe célébrée en plein air, sur le front
« Les Allemands restés grands amateurs de pendules »
Ce numéro contient des informations sur la guerre, des récits de la vie quotidienne, des illustrations et des photographies qui reflètent les événements de l’époque.
« Photos et croquis de guerre »
Sur le Vif » est un ancien périodique français, souvent associé à des publications illustrées. Lancé dans les années 1920, il se concentrait sur des sujets d’actualité, des reportages et des récits de la vie quotidienne.
« M Poincaré présentant son ancien capitaine aux généraux Dubail et Roques »
Ce numéro contient des informations sur la guerre, des récits de la vie quotidienne, des illustrations et des photographies qui reflètent les événements de l’époque.
« Un moment de repos »
Il a été publié principalement entre 1915 et 1918, durant le conflit. Ces publications visaient à documenter les événements militaires et la vie des soldats, souvent avec un accent sur l’impact de la guerre sur la société. Elles ont joué un rôle important dans la diffusion d’images de la guerre auprès du grand public, contribuant ainsi à la mémoire collective de ce conflit majeur.
« Un roi, Nicolas 1er de Monténégro »
Le journal « J’ai Vu » du 11 décembre 1915 était un périodique français qui a été publié pendant la Première Guerre mondiale. Ce journal se distinguait par son approche journalistique et ses reportages de première main. Il était souvent écrit par des soldats ou des correspondants de guerre, partageant des récits d’expériences vécues sur le front.
L’Ouest dans la Grande Guerre explore la période de 1914 à 1919, retraçant les événements majeurs et présentant les régiments de l’Ouest. Le hors-série inclut de nombreux témoignages de soldats, des photos d’objets quotidiens, ainsi que des aspects de la vie à l’arrière, rendant hommage aux familles des Poilus.
Cataclysme inédit dans l’histoire de l’humanité, la Grande Guerre, bien que hélas dépassée en horreur depuis, conserve jusqu’à ce jour une aura toute particulière. Elle fascine et suscite les interrogations des descendants de ces poilus dont l’abnégation demeure une sorte d’énigme.
Max Lumière, médecin aux tranchées chez les zouaves, était un esprit particulièrement curieux. Muni de son appareil photo, il a pris des clichés de tout ce qui était étonnant ou intéressant, au front comme à l’arrière. Il a ramené ainsi plus de 500 photographies concernant tous les domaines : les zouaves, bien sûr, mais aussi les autocanons de 75, l’artillerie, les animaux, la mort et le deuil, les jeux… La plupart des sites du front sont photographiés : Verdun, la Somme, le Chemin des Dames, le Mont-Cornillet, Pont-à-Mousson, le Matz, etc. Toutes ces photographies sont inédites jusqu’à aujourd’hui.
Cet ouvrage rassemble douze nouvelles inédites, dont le propos n’est pas de se placer au plan de l’Histoire, comme cela sera fait l’année prochaine, mais au plan de la chronique régionale. A partir de faits réels piochés dans le journal « l’Indépendant des Basses-Pyrénées » de l’année 1914, les auteurs ont exploré l’histoire locale au travers du prisme des sentiments humains : la mesquinerie, la bêtise, la méchanceté mais aussi l’amitié, l’amour, la douleur.
À la fois guide pratique et récit de vie, ce livre vous aide à retrouver l’itinéraire de vos grands-pères et arrières-grands-pères durant la Première Guerre mondiale. Comment découvrir des témoignages, des écrits
et photographies sur leur parcours et leurs épreuves ? Grâce aux documents militaires et civils, aux témoignages intimes partagés sur les blogs par des milliers d’autres descendants, rencontrez vos aïeux et les soldats de votre famille, de votre commune. Lisez les récits de leurs amis, retrouvez leurs horizons. Véritable « boîte à outils » pour révéler des secrets oubliés, ce livre raconte aussi la guerre de Pierre Bourgault à partir de son carnet et de ses lettres. Comme tant d’autres, il avait vingt ans en 1914 et son témoignage individuel annonce la naissance dans la douleur d’une nouvelle société, l’apparition du XXe siècle à marche forcée.
Quelles traces psychologiques la guerre a-t-elle laissées dans nos généalogies ? Quelles sont les conséquences du premier conflit mondialisé sur nos modes de vie et de consommation, sur le monde actuel?
Livre : 48 pages, couverture cartonnée, format 14 x 20 cm, quadrichromie. DVD : 50′, intégrale du spectacle.
Co-éd. Image Latente et Les Mélangeurs.
Le spectacle de la Compagnie Les Mélangeurs, Les Onze tableaux de l’Escouade, offre une approche symbolique et universelle du drame engendré par les conflits armés. La mémoire de ces heures sombres est suggérée par les ombres portées d’un danseur et d’une trapéziste sur fond de diapositives mouvantes. Un comédien ponctue les scènes par la lecture de lettres de Poilus.
Le spectacle est entièrement construit sur le support musical de Michel Blanc, Les Onze Tableaux de l’Escouade , inspiré du journal de marche de son grand-père, poilu dans le 158e régiment d’infanterie.
La lettre du chemin des Dames , bulletin d’information édité par le conseil général de l’Aisne. En lançant cette publication périodique (2 à 3 n° par an) le Conseil général de l’Aisne suit la voie ouverte ces dernières années par nombre de musées et d’institutions culturelles. La première originalité de cette lettre c’est qu’elle concerne un territoire , elle ouvre ses colonnes aux communes et communautés de communes, aux associations et à tous ceux qui font vivre la mémoire du chemin des Dames.
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