Correspondances

Cartes postales de poilus

Cartes postales de poilus

La Grande Guerre racontée par les mots simples et déchirants des soldats. Durant la Première Guerre mondiale, des centaines de millions de cartes postales ont été envoyées. Elles nous révèlent mieux que tout autre document comment l’engagement, le combat, la séparation et l’attente furent vécus par les soldats français et leurs familles.

Ecrire sa guerre

Ecrire sa guerre

Environ 35 000 Canadiens français ont combattu ou ont servi lors de la Première Guerre mondiale. Malheureusement, la plupart d’entre eux se sont faits discrets et n’ont pas laissé de témoignages publiés. Que sait-on de ces combattants? Comment ont-ils vécu leur guerre? Comment l’ont-ils racontée à leurs proches? 
Cet ouvrage tente de combler ce silence en laissant la parole à ces combattants, aujourd’hui tous disparus, par le biais de lettres, de carnets ou de journaux personnels. 
L’ouvrage réunit les témoignages, la plupart inédits de plus d’une cinquantaine de combattants.

Paroles de poilus

Paroles de poilus , lettres et carnets du front

Ils avaient 17 ans ou 25 ans, se prénommaient Gaston, Louis, René, ils étaient palefreniers, boulangers, colporteurs, ouvriers ou bourgeois. Ils devinrent soudainement artilleurs, fantassins, brancardiers…..

MUSIDORA - Un certain regard

MUSIDORA – Un certain regard

Musidora a été une exceptionnelle marraine de guerre (14-18) et le livre présente les lettres des poilus à cette actrice très aimée.

20 ans, paysan, poète et... poilu

20 ans, paysan, poète et… poilu !

(…) ne vous faites pas de mauvais sang, car c’est d’un cœur léger que je pars.
(…) je reviens de quatre jours de tranchées et, rassurez-vous, je suis bien portant ! 
(…) dans les tranchées, on court très peu de risques…                           

C’est ainsi que René Graciet tranquillise sa famille. À travers le courrier adressé à ses parents, on suit l’itinéraire d’un paysan de 20 ans qui découvre la France avec la guerre.

Si on avait écouté Jaurés

Si on avait écouté Jaurés

En août 1914, le choc de la guerre est terrible. Charles Patard rejoint le 304e RI….Empreint d’humanité, son témoignage nous livre l’oinion d’un poilu opposé dès les premiers jours à la guerre.
Charles Patard est mobilisé comme soldat dès le début de la guerre, il a alors 30 ans, est marié et tient un commerce d’épicerie dans l’Orne. Présenté par sa petite fille Isabelle Jeger, ce livre rassemble un court récit ainsi qu’une correspondance.

Guerre à Mende

Guerre à Mende – Journal de l’arrière front 1914-1918

Albert Jurquet un témoignage inédit
Lorsque éclate la première guerre mondiale, Albert Jurquet est chef chef de division à la préfecture de Mende en Lozère. Dès le 26 juillet 1914, il tient un journal….Ce journal de l’arrière , tenu secret, ne sera redécouvert que dans les années 2000. Il s’agit d’une sorte de défouloir, un témoignage inédit sur la guerre à l’abri de la censure militaire très stricte à l’époque.

Alphonse et Marguerite

Alphonse et Marguerite

« Alphonse et Marguerite – Un amour épistolaire dans la tourmente de la Grande Guerre »
Après la découverte de la correspondance de ses grands-parents dans une pièce de la maison familiale restée intacte, Frédéric Chémery se trouve plongé dans la Grande Guerre, partageant les émotions des deux épistoliers. Riche de près de 800 lettres échangées entre 1914 et 1919, il en a sélectionné les extraits – sans rien modifier du style ni du contenu – qui retranscrivent dans la chronologie l’émouvante histoire d’amour d’Alphonse et Marguerite, dans l’atmosphère toute particulière de la Grande Guerre, tant sur le front qu’à l’Arrière.

Retrouvez vos ancêtres en 14-18

Retrouvez vos ancêtres en 14-18

À la fois guide pratique et récit de vie, ce livre vous aide à retrouver l’itinéraire de vos grands-pères et arrières-grands-pères durant la Première Guerre mondiale. Comment découvrir des témoignages, des écrits
et photographies sur leur parcours et leurs épreuves ? Grâce aux documents militaires et civils, aux témoignages intimes partagés sur les blogs par des milliers d’autres descendants, rencontrez vos aïeux et les soldats de votre famille, de votre commune. Lisez les récits de leurs amis, retrouvez leurs horizons. Véritable « boîte à outils » pour révéler des secrets oubliés, ce livre raconte aussi la guerre de Pierre Bourgault à partir de son carnet et de ses lettres. Comme tant d’autres, il avait vingt ans en 1914 et son témoignage individuel annonce la naissance dans la douleur d’une nouvelle société, l’apparition du XXe siècle à marche forcée.
Quelles traces psychologiques la guerre a-t-elle laissées dans nos généalogies ? Quelles sont les conséquences du premier conflit mondialisé sur nos modes de vie et de consommation, sur le monde actuel?

Les Ombres

Les Ombres

Quelque part entre 1914 et 1918, un soldat écrit à celle qu’il aime, malgré les réponses qui se font de plus en plus rares. Le silence bientôt, et les doutes. Puis l’absence de doute. Enfin une odyssée au pays des morts, avec l’amour comme dernière lueur. Un récit macabre, violent, poétique, onirique. La guerre et les passions humaines dans un voyage sans retour.

De la Terre à la Guerre

De la Terre à la Guerre

À l’été 1914, une famille de paysans bourguignons se retrouve plongée dans le cauchemar de la Première Guerre mondiale. À la lumière d’une correspondance riche de près de deux cents lettres, son histoire se dévoile, du monde ancien des terroirs aux lumières de la Belle Époque, basculant brutalement dans le terrifiant conflit qui inaugure le XXe siècle.
Entre les parents, les femmes et les enfants restés à l’arrière et les hommes partis au front s’instaure un échange à voix multiples, retraçant à la fois les itinéraires de chacun et l’aventure collective d’une famille bouleversée. Du poilu de Verdun au prisonnier de guerre, du jeune bleuet à la gueule cassée, de la marraine de guerre à la mère endeuillée, tous les personnages de la « Grande Guerre » sont conviés dans ce tableau réaliste de la France paysanne en guerre.

Petites histoires pour l'Histoire

Petites histoires pour l’Histoire

 « Petites histoires pour l’Histoire »  regroupe à partir des 950 correspondances de mon Grand Père à ses parents entre 1915 et 1919, des anecdotes, des confidences, des faits divers.
De l’Aube à la Somme, de la Lorraine à la « Bochie », en passant par l’Aisne, ces extraits relatent la vie quotidienne d’un cantonnement, tous autant de témoignages d’un Poilu anonyme.

Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917

« Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917 et correspondances »

En cette année 2018 qui marque la fin du Centenaire de la Première Guerre mondiale, j’ai le plaisir de vous informer que je viens de faire éditer les mémoires et les lettres que le grand-père de mon mari envoyait à sa femme ainsi que d’autres qu’il recevait de ses amis durant la guerre de 14-18, sous le titre « Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917 et correspondances ». Il était lieutenant au 38e régiment d’artillerie. Il a défendu la Patrie sur les terres de l’Artois en 1915. Son frère a laissé sa vie dans les tranchées de la Somme en juillet 1916. Un site est consacré à Ma chère Marie-Thérèse. Les articles qui s’y trouvent avec des extraits des mémoires et des lettres peuvent être enrichis par des commentaires.

Du Médoc à Salonique, le voyage de Joseph Pinet

Du Médoc à Salonique-Le voyage de Joseph Pinet 1914-1918

C’est au mois d’août 1914, à l’âge de 23 ans que Joseph Pinet est mobilisé au 10ème hussards en tant que Maréchal des Logis. Il quitte le petit port de Saint-Christoly de Médoc pour un long voyage qui durera quatre années. Il ne reviendra jamais dans son village natal car au mois d’octobre 1918 il décède d’une broncho-pneumonie à Salonique, il a seulement 27 ans.
Durant ce long périple, il n’a de cesse d’envoyer des cartes postales à sa famille afin de prendre de leurs nouvelles. De Tarbes à Salonique en passant par les Vosges, Verdun, Marseille, la Toscane et la Grèce, il raconte son voyage. Les entraînements, les tranchées, la pluie, le froid, les marches, la cavalerie, il découvre de nouveaux paysages, de nouvelles populations, il s’étonne, s’interroge, puis la chaleur arrive avec ses fièvres…

Des tranchées au stalag

Des tranchées au stalag

Une famille française marquée par deux guerres.
La correspondance d’un jeune couple et de ses proches nous plonge au cœur de la vie d’une famille de parisiens croyants durant le début de la première guerre mondiale. Ce sont les misères, difficultés, les attentes et espérances des civils qui sont relatées au fil des lettres, ainsi qu’un reflet réaliste de la vie des tranchées.
Une génération plus tard, leur fils vivra, à son tour, les souffrances liées à la seconde guerre mondiale, une captivité de cinq années en Allemagne. Son journal et ses écrits racontent la vie difficile, parfois entrecoupée de moments plus détendus, au stalag.

Entre les lignes

Entre les lignes

En 1871, l’Allemagne a annexé l’Alsace-Lorraine. Mais si elle l’a conquis « matériellement », elle n’a pas pour autant réussi à conquérir le cœur de nombreux Alsaciens-Lorrains. En décembre 1917, Charles, Alsacien-Lorrain de 19 ans, est incorporé malgré lui, comme 380.000 autres, qui porteront l’uniforme vert-de-gris de l’armée Allemande. 
A partir de ses carnets de guerre, Charles décrit sa participation aux grandes batailles de 1918, qui le conduiront, jusqu’à la bataille de bois Belleau, « dans la gueule du loup » à 80 kilomètres de Paris, où les alliés reprendront l’offensive et pourchasseront les troupes allemandes jusqu’à la victoire finale. 
Charles livre également ses sentiments les plus intimes pour une jeune Française rencontrée pendant cette période, sur les lignes arrières du front, dans la ville de Laon. 
Cent ans après la fin de la Grande guerre, ses petits-enfants ont voulu achever en sa mémoire son ouvrage. 
Ce livre n’est pas une fiction, tous les faits décrits ont bien existé.
Il est distribué dans le réseau hachette et sur bookelis 

La Grande Guerre à 18 ans Le témoignage de Paul

La Grande Guerre à 18 ans Le témoignage de Paul

Pendant la Grande Guerre, l’être humain a utilisé son savoir afin de détruire son prochain en prétextant une noble cause : la paix. Paul, 18 ans, se retrouvera happé par le devoir civique et rendra compte de son quotidien pendant quatre ans et demi. De plus, entre chaque année du récit, l’auteur, le fils du soldat, a rappelé la situation politique en France et dans les autres pays. Un témoignage à transmettre de génération en génération.

Journal de Séraphine Pommier infirmière pendant la Grande Guerre 1914-1918

Journal de Séraphine Pommier infirmière pendant la Grande Guerre 1914-1918

Dès les premiers combats d’août 1914, les pertes sont élevées et le ministère de la Guerre, les services de Santé, la Croix-Rouge créent ensemble 1500 hôpitaux auxiliaires. Une jeune femme de la bourgeoisie lyonnaise se demande comment elle pourrait servir son pays envahi par les « Prussiens » : « Je sentis plus que jamais le besoin de me dévouer et de faire quelque chose » écrit-elle sur un cahier d’écolier. Elle est recrutée comme infirmière bénévole à l’hospice de Meximieux, dans l’Ain, devenu hôpital militaire n°9, puis au lycée de garçons Ozanam de Lyon, hôpital n°21. Elle a la bonne idée de tenir de septembre 1914 à fin décembre 1918 un journal quotidien car tout l’étonne dans ce métier nouveau pour elle : le brassage des Poilus venus de toutes la Franc e et de l’Empire, la pharmacopée où se mêlent le vin aromatisé ou la pommade des Reclus et le Dakin qui vient d’être inventé, les prothèses de plus en plus élaborées pour les blessés, les concerts caritatifs et les loisirs dans les hôpitaux, les pénuries alimentaires, l’accueil des prisonniers et des réfugiés, les visites aux blessés, les relations avec les infirmiers et les brancardiers, etc. La figure héroïque du Poilu, les pieds dans la boue de sa tranchée, s’enrichit d’une autre réalité sous la plume bienveillante de Séraphine. « Le médecin soigne les blessures. Nous, nous soignons les hommes. » écrit-elle.
Le Journal de Séraphine Pommier, infirmière pendant la Grande Guerre (1914-1918) a été réalisé à partir de 1800 pages de cahiers d’écolier desquelles ont été extraites et annotées quelque 300 pages, illustrées de 19 croquis de sa main et de 10 photos qu’elle a prises.

LETTRES DE GUERRE D'UN ARTILLEUR

Lettres de guerre d’un artilleur

Le jeune étudiant originaire de Maisons-Laffitte qui s’engage la mairie de Versailles, le 9 décembre 1914, pour la durée de la guerre, pouvait-il imaginer qu’il ne connaîtrait le retour la vie civile qu’en septembre 1919, avant d’être nouveau mobilisé, vingt ans plus tard ?
Les quelque deux cents lettres sélectionnées dans ce livre couvrent, pour l’essentiel, la période où Maurice Ferrant se trouve sur le front, entre août 1915 et février 1916, au 3e puis au 114e régiment d’artillerie lourde, pendant la campagne des Vosges, ainsi que les moments cruciaux de mai juin 1940, alors qu’il sert au 407e régiment d’artillerie antiaérienne de Paris.

« Évidemment, je pourrais écrire l’endroit où je suis, mais cela vaut un mois de prison ou des arrêts de rigueur.
Et vous ne seriez pas plus avancés pour cela. »
26 octobre 1915

Ta femme qui t'aime

Ta femme qui t’aime

Parti du Marais Poitevin en août 1914, François Hippolyte Benéteau a 32
ans quand il quitte femme et enfants pour rejoindre la ligne de front. Comme tant
d’autres, il laisse ses vêtements d’agriculteur pour l’uniforme militaire. Malgré son
âge et 5 enfants, il passe de la territoriale à l’active. Au sein de sa compagnie du
167ème Régiment d’Infanterie, Les Loups du Bois-le-Prêtre, il engage le combat dans
l’une des zones les plus meurtrières de la Première Guerre mondiale…