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Vitraux Finistère

Vitraux Finistère

Finistère
Comme ses voisins bretons, le département du Finistère a payé un lourd tribut lors des trois grands conflits qui ont opposé la France à nos voisins d’Outre-Rhin : lors de la Première Guerre mondiale, 29 238 jeunes hommes sont ainsi allés jusqu’au sacrifice suprême pour que la France demeurât libre.
Cet ouvrage vous permettra de découvrir en famille 12 communes :  » BEUZEC-CAP SIZUN / CHATEAUNEUF DU FAOU / DOUARNENEZ / EDERN / KERNILIS / KERLAZ / MORLAIX / PLOBANNALEC / PLOUGASTEL-DAOULAS / PLOUNEOUR-TREZ / QUIMPER / SAINT-MARTIN-DES-CHAMPS / SAINT-THURIEN « 

Vitraux Côtes d'Armor

Vitraux Côtes d’Armor

Côtes d’Armor
Les Côtes d’Armor, avec leur grande façade maritime et une population agricole importante, ont offert à la France un fort contingent de fantassins et de marins à l’occasion des deux fortes déflagrations qui ont embrasé le monde dans la première moitié du vingtième siècle.
Cet ouvrage vous permettra de découvrir en famille plus d’une vingtaine de communes réparties en 6 circuits : BONEN / CALLAC / CAMLEZ / DINAN / DUAULT / GUINGAMP / JUGON LES LACS / LANRIVAIN / LE LOSCOUET SUR MEU / PLANGUENOUAL / PLELO / PLEUNEUF VAL ANDRE / PLOUBALAY / PLOUEZEC / PLOUHA / QUINTIN / SEVIGNAC / ST CAST / ST CONNAN / ST NICODEME / ST JACUT DE LA MER / TREBEURDEN / TREGUIER / TREGUIDEL et TREVRON.

Gueules cassées ... et alors

Gueules cassées … et alors ?

«Un quatrième engin explose, libérant des milliers d’étoiles étincelantes tout aussi éphémères que meurtrières.» Au cœur de l’enfer, cette fraction de seconde suffit à faire d’Etienne, à 20 ans, une gueule cassée… Blessé au visage pendant la première guerre mondiale, Etienne se mure d’abord dans la solitude et le silence. Il accepte difficilement d’être hospitalisé afin de subir de nombreuses opérations, à une époque où la chirurgie faciale n’est qu’à ses balbutiements. Si la souffrance physique est intense, le tourment moral, lui, est insupportable. Mais au cœur du havre de paix que représente le domaine des Gueules Cassées, grâce à des rencontres fortuites et à des amitiés sincères, le jeune homme s’apaise, retrouve une identité qu’il croyait perdue et réapprend enfin à sourire… Dans ce récit bouleversant, Etienne côtoie tour à tour Victor, un gamin des tranchées, Gaston, l’instituteur de Moussy-le-Neuf, Marie, l’ouvrière attirante et inaccessible, Clément, le poète, des pensionnaires du château de Moussy-le-Vieux et Albert Jugon, un des trois fondateurs de l’Union des blessés de la face et de la tête. Témoins d’événements majeurs de l’entre-deux-guerres, ils nous font tous partager une aventure humaine hors du commun…

Alphonse et Marguerite

Alphonse et Marguerite

« Alphonse et Marguerite – Un amour épistolaire dans la tourmente de la Grande Guerre »
Après la découverte de la correspondance de ses grands-parents dans une pièce de la maison familiale restée intacte, Frédéric Chémery se trouve plongé dans la Grande Guerre, partageant les émotions des deux épistoliers. Riche de près de 800 lettres échangées entre 1914 et 1919, il en a sélectionné les extraits – sans rien modifier du style ni du contenu – qui retranscrivent dans la chronologie l’émouvante histoire d’amour d’Alphonse et Marguerite, dans l’atmosphère toute particulière de la Grande Guerre, tant sur le front qu’à l’Arrière.

La mémoire au bout du fusil

La mémoire au bout du fusil

18 nouvelles pour tenter de répondre à une question : Que reste-t-il de l’effroi ou du courage de ceux qui ont vécu la guerre ? Peu de chose parfois, hormis des objets et des reliques auxquelles s’attachent des histoires qui peuvent encore blesser ou enchanter. Ce sont ces objets qui ont repris vie sous ma plume pour raconter le choc qu’ils pouvaient procurer aux vivants. Car, ainsi que je le fais dire à un de mes personnages : Les soldats étaient parfois enterrés à deux reprises, une première fois sous la terre, et une seconde fois sous le silence. Alors, lorsqu’un objet surgit du passé des guerres, il peut ranimer une mémoire oubliée ou révéler une histoire secrète. 18 histoires, des tranchées aux plages du débarquement.

Retrouvez vos ancêtres en 14-18

Retrouvez vos ancêtres en 14-18

À la fois guide pratique et récit de vie, ce livre vous aide à retrouver l’itinéraire de vos grands-pères et arrières-grands-pères durant la Première Guerre mondiale. Comment découvrir des témoignages, des écrits
et photographies sur leur parcours et leurs épreuves ? Grâce aux documents militaires et civils, aux témoignages intimes partagés sur les blogs par des milliers d’autres descendants, rencontrez vos aïeux et les soldats de votre famille, de votre commune. Lisez les récits de leurs amis, retrouvez leurs horizons. Véritable « boîte à outils » pour révéler des secrets oubliés, ce livre raconte aussi la guerre de Pierre Bourgault à partir de son carnet et de ses lettres. Comme tant d’autres, il avait vingt ans en 1914 et son témoignage individuel annonce la naissance dans la douleur d’une nouvelle société, l’apparition du XXe siècle à marche forcée.
Quelles traces psychologiques la guerre a-t-elle laissées dans nos généalogies ? Quelles sont les conséquences du premier conflit mondialisé sur nos modes de vie et de consommation, sur le monde actuel?

Les Ombres

Les Ombres

Quelque part entre 1914 et 1918, un soldat écrit à celle qu’il aime, malgré les réponses qui se font de plus en plus rares. Le silence bientôt, et les doutes. Puis l’absence de doute. Enfin une odyssée au pays des morts, avec l’amour comme dernière lueur. Un récit macabre, violent, poétique, onirique. La guerre et les passions humaines dans un voyage sans retour.

1914-1918, Le Styx du XXe siècle

1914-1918, Le Styx du XXe siècle

 Sur cette terre de misère, tant retournée, bouleversée, La nature s’était éteinte, grande martyre, crucifiée, Par l’obus et la haine, comme l’homme, sacrifiée, De tranchées en cratères, si torturée, renversée. Des séismes de feu déchiraient les frontières, Séparaient les familles et pourfendaient les pères. La terre s’effaçait d’une éclipse singulière, Asphyxiée à jamais de gaz et de poussière. Cloaque sans fin où se répandaient les larmes, Les corps et les âmes de compagnons d’armes.
Fleuve troublé par l’hémorragie d’un monde Qui en toi déversait tout ce qu’il a d’immonde… Sur cette terre de misère, tant retournée, bouleversée, La nature reprend ses droits, et le temps érode le sang versé. Alors vogue, lecteur, sur ce Styx du passé.

Le petit soldat

Le petit soldat

14-18, la guerre vue par ses soldats
1er août 1914. Louis, Jacques, Maurice, Armand, Denis, Arsène, Pierre et Jules sont mobilisés. Huit amis, âgés d’une trentaine d’années, issus de la même petite ville et affectés dans le même régiment d’infanterie. Ensemble, ils découvrent les premiers combats, les premiers doutes et les premiers ordres absurdes, point de départ de quatre longues années dont certains reviendront, d’autres non…

De la Terre à la Guerre

De la Terre à la Guerre

À l’été 1914, une famille de paysans bourguignons se retrouve plongée dans le cauchemar de la Première Guerre mondiale. À la lumière d’une correspondance riche de près de deux cents lettres, son histoire se dévoile, du monde ancien des terroirs aux lumières de la Belle Époque, basculant brutalement dans le terrifiant conflit qui inaugure le XXe siècle.
Entre les parents, les femmes et les enfants restés à l’arrière et les hommes partis au front s’instaure un échange à voix multiples, retraçant à la fois les itinéraires de chacun et l’aventure collective d’une famille bouleversée. Du poilu de Verdun au prisonnier de guerre, du jeune bleuet à la gueule cassée, de la marraine de guerre à la mère endeuillée, tous les personnages de la « Grande Guerre » sont conviés dans ce tableau réaliste de la France paysanne en guerre.

Les Onze Tableaux de l’Escouade

Les Onze Tableaux de l’Escouade

Livre : 48 pages, couverture cartonnée, format 14 x 20 cm, quadrichromie. DVD : 50′, intégrale du spectacle.
Co-éd. Image Latente et Les Mélangeurs.
Le spectacle de la Compagnie Les Mélangeurs, Les Onze tableaux de l’Escouade, offre une approche symbolique et universelle du drame engendré par les conflits armés. La mémoire de ces heures sombres est suggérée par les ombres portées d’un danseur et d’une trapéziste sur fond de diapositives mouvantes. Un comédien ponctue les scènes par la lecture de lettres de Poilus.
Le spectacle est entièrement construit sur le support musical de Michel Blanc, Les Onze Tableaux de l’Escouade , inspiré du journal de marche de son grand-père, poilu dans le 158e régiment d’infanterie.

Le Fou de Dieu

Le Fou de Dieu

Romancier, je viens de mettre en ligne ma première nouvelle, Le Fou de Dieu.
Le centenaire de la « Der des Ders » voit refleurir de somptueux textes, certains classiques, d’autres presque inconnus, et il est bien périlleux d’y aller de sa propre pierre. Mais Le Fou de Dieu est une histoire qui me tient particulièrement à cœur et que je chéris depuis des années, l’épurant sans cesse.
Dans les tranchées de Verdun, un jeune poilu s’évade en se découvrant une vocation d’écrivain, qu’il transpose sur les grandes orgues de Saint-Sulpice au moment où tout bascule autour de lui.  

Ils étaient cinq dans les tranchées de Gaulle, Hitler, Mussolini, Churchill, Patton

Ils étaient cinq dans les tranchées : de Gaulle, Hitler, Mussolini, Churchill, Patton

Charles de Gaulle, Adolf Hitler, Benito Mussolini, Winston Churchill, George Patton :  cinq noms indissociables de la Seconde Guerre mondiale, dont l’addition donne la mesure planétaire de ce conflit.
Avant d’être les grands chefs de 39-45, ces cinq hommes ont tous vécu les combats de 14- 18. Le saint-cyrien de Gaulle a découvert l’enfer à Verdun, où il a été blessé et fait prison- nier ; le caporal Hitler, qui réalisait dessins et croquis entre deux assauts, a été gazé dans le secteur d’Ypres ; le simple soldat Mussolini, ardent pacifiste au début de la guerre, a été blessé dans les rangs des Bersaglieri, soldats d’élite de l’armée italienne ; le lieutenant- colonel Churchill a été nommé ministre des Munitions après avoir commandé sur le front de l’Ouest. Quant au fougueux lieutenant de cavalerie Patton, il a été le premier officier américain à devenir spécialiste d’une arme nouvelle qui connaîtra son plein essor vingt ans plus tard avec la Seconde Guerre mondiale : le char d’assaut.

A la soupe , le repas du poilu

A la soupe , le repas du poilu

Quoi de plus réconfortant qu’un bon repas  ? Au coeur des tranchées, les cuistots de 1914 furent beaucoup plus que des intendants ordinaires, des soldats passionnés contre la faim et la déprime. Manger chaud, manger bien, c’est déjà un peu gagner la guerre.
Des « beignets de campagne » à la « soupe vigneronne », en passant par le « ragoût à l’anglaise », cet ouvrage hors du commun vous permettra de recréer les recettes simples et fortifiantes des Poilus de la Grande Guerre. Un aperçu saisissant et humain de la vie sur le front.

JEAN-CORENTIN CARRÉ, L'ENFANT SOLDAT

Jean-Corentin Carré, l’enfant soldat

Après la défaite de 1871, les enfants sont éduqués pour devenir des « défenseurs de la Patrie »…
Dès le début de la grande guerre de 14/18, les enfants sont interpellés par la propagande. L’école développe le thème d’une guerre pour les enfants menée par l’état français pour devenir de futurs soldats…. Les écoliers doivent prendre la mesure du sacrifice de leurs pères et s’en montrer dignes… Jean-Corentin Carré, jeune Breton du Faouët en est l’exemple même ! Engagé sous un faux nom à l’âge de 14 ans en tant que simple fantassin dans les tranchées, il deviendra très vite le plus jeune soldat décoré pour des faits de guerre… Il entame une seconde carrière dans l’aviation et meurt en mars 1918 mitraillé par les balles ennemies. Son parcours exceptionnel en a fait un héros, un exemple suivi dans les écoles après guerre et pour les générations futures…

Dans les yeux des poilus - 1914-1918 - Des Flandres aux Vosges

Dans les yeux des poilus – 1914/1918 – Des Flandres aux Vosges

« Mais qu’avons-nous fait pour mériter une chose pareille ? Quelles fautes devons-nous expier en ce bas monde ? » Avant de franchir le parapet de la tranchée pour monter à l’assaut, le soldat Paul Viriot, du 37e régiment d’infanterie, s’interroge. Combien de camarades vont être broyés lors de cette énième attaque ? Il se sent abandonné à lui-même, sans secours ni consolation. Un siècle plus tard, il demeure difficile de s’imaginer ce qu’ont vécu les poilus durant plus de quatre années.
Contrairement aux récits officiels teintés de propagande et saturés de patriotisme, les jeunes hommes qui ont dû combattre n’ont pas été dans leur grande majorité des « bêtes de guerre » recherchant à tout prix une forme de gloire. Il n’y a qu’à parcourir leurs écrits pour mesurer à quel point ils étaient lucides. S’ils aimaient leur pays et la liberté, ils n’admettaient pas que leur existence soit sacrifiée dans des offensives stériles.

L'affaire Chapelant, l'autre vérité

L’affaire Chapelant, l’autre vérité

Après l’éphémère succès des français sur la Marne, les fleurons des régiments d’infanterie ont connu la déroute dans la Somme. L’Etat-Major dépassé cherchera des boucs émissaires comme Chapelant. A l’aube de son conseil de guerre spécial, les paroles du lieutenant-colonel Didier, réitérant ses menaces aux juges, sont claires : « Vous entendez Gaube, il faut me le fusiller ». Les mitrailleuses de Chapelant ont enrayé l’offensive des Poméraniens sur Paris et de clouer au sol 450 Allemands, pourquoi le cacher ? Les pièces de ce dossier ont été falsifiées, les témoins à décharge écartés, les faits de gloire attribués à d’autres.

Dans l'enfer de la Somme

Dans l’enfer de la Somme

Avec la Somme pour théâtre, l’auteur retrace l’essor, en 1916 et 1918, de l’aviation militaire dans ses trois principales missions : observation, chasse et bombardement. Il nous délivre, de l’intérieur même de la car- lingue, le récit poignant des prouesses des premiers fantassins de l’air français, belges, britanniques, italiens et américains. À partir de témoignages puisés à la source même, il fait revivre de nombreux héros injustement méconnus car dans l’ombre des As – Guynemer, Nungesser, Fonck, Navarre, etc. – auréolés de gloire. Bien peu ont survécu aux combats impitoyables menés à bord de leurs Farman, Caudron, Voisin, Nieuport ou Spad contre les redoutés Fokker allemands. Mais tous ont fait preuve d’un courage et d’une audace admirables, d’un tel esprit de sacrifice qu’il convient ici de leur rendre hommage en racontant leurs exploits.

Petites histoires pour l'Histoire

Petites histoires pour l’Histoire

 « Petites histoires pour l’Histoire »  regroupe à partir des 950 correspondances de mon Grand Père à ses parents entre 1915 et 1919, des anecdotes, des confidences, des faits divers.
De l’Aube à la Somme, de la Lorraine à la « Bochie », en passant par l’Aisne, ces extraits relatent la vie quotidienne d’un cantonnement, tous autant de témoignages d’un Poilu anonyme.

Blagues de poilus (l'humour noir des tranchées)

Blagues de poilus (l’humour noir des tranchées)

Cette anthologie, unique en son genre, regroupe plus de 200 blagues de Poilus extraites des journaux de tranchées. Ces gazettes, rédigées avec les moyens du bord par les soldats, révèlent combien l’humour fut pour eux le meilleur remède contre l’attente, la peur, l’épuisement, le désespoir… Calembours, traits d’esprit et autres jeux de mots cherchent inlassablement à tromper l’ennui et apprivoiser la mort qui frappe de tous côtés.
Ces citations, toutes vérifiées, ont également une valeur historique inestimable : elles lèvent le voile sur une autre guerre, celle vécue au jour le jour par des hommes à bout, luttant contre les Boches, mais aussi contre la faim ou les poux. Un florilège inédit, drôle et émouvant, révélateur de ce que fut cette satanée « Der des der », dans l’enfer de Verdun et ailleurs. Toutes les citations sont issues de journaux de tranchées aux titres évocateurs : La Gazette des boyaux, L’Écho des Gourbis, Le Poilu déchaîné… Sous des formes variées : blagues, petites annonces, faux reportages, poèmes, jeux… Elles abordent les sujets qui préoccupent le Poilu : l’ennemi, la hiérarchie, les planqués, sans oublier les femmes ou la boisson ! Face à la terrible réalité de la guerre, cynisme et dérision servent à faire contrepoids.

Quand la marine impériale bombardait Nancy

Quand la marine impériale bombardait Nancy

Le « canon de Hampont », souvent appelé le « Gros Max », est une très grosse pièce d’artillerie de la marine allemande, mise en place pour un emploi terrestre en Moselle, entre Hampont et Château-Salins.
À partir du 1er janvier 1916 et jusqu’au début de 1917, ce super canon de 260 tonnes exécute, par-dessus le front, des bombardements sur trois agglomérations de Meurthe-et-Moselle : Nancy, Dombasle-sur-Meurthe et Lunéville. Servi par des canonniers marins, il crache, à une trentaine de kilomètres, environ 150 énormes obus qui occasionnent des dégâts et provoquent des victimes.

La Grande Guerre Autrement

Le Bleuet et le Coquelicot – La Grande Guerre autrement

250 photos inédites réalisées sur les champs de bataille de Wallonie et de Lorraine depuis plus de quinze ans.
Contribution de 80 textes d’écrivains-combattants et d’historiens de la Grande Guerre.

Fusillés non réhabilités

Fusillés non réhabilités

Après huit années de recherches et d’engagement pour la cause des fusillés et à quelques jours du 11 novembre, mon ouvrage dans lequel je présente les fusillés en répondant à un certain nombre de questions est disponible.
Qui étaient ces fusillés ? Pourquoi ont-ils été fusillés ? Comment ont-ils été jugés ? … (voir table des matières jointes). J’ai parcouru un grand nombre de dossiers de fusillés et de carnets de Poilus.
J’ai bien souvent pu constater que ce sujet était mal connu même chez certaines personnes qui refusent la réhabilitation.

La lettre du chemin de Dames

La lettre du chemin de Dames

La lettre du chemin des Dames , bulletin d’information édité par le conseil général de l’Aisne. En lançant cette publication périodique (2 à 3 n° par an) le Conseil général de l’Aisne suit la voie ouverte ces dernières années par nombre de musées et d’institutions culturelles. La première originalité de cette lettre c’est qu’elle concerne un territoire , elle ouvre ses colonnes aux communes et communautés de communes, aux associations et à tous ceux qui font vivre la mémoire du chemin des Dames. 

Menace à Arras

Menace à Arras

Près d’Arras, Mathéo et sa classe découvrent avec fascination les lieux importants de la Première Guerre mondiale. Un bonheur pour le garçon, féru d’Histoire. Quand il veut en parler à son grand-père, lui aussi passionné par la discipline, le collégien s’aperçoit qu’il s’est volatilisé. Son excuse : être parti en vacances. Ça, Mathéo n’y croit pas une seconde ! Selon lui, papy André a été enlevé. Aidé de son intrépide petit frère Antoine et de l’audacieuse Olivia, Mathéo enquête. À eux trois, ils forment la Section Orion et déchiffrent peu à peu des indices laissés par papy André. En suivant les traces d’un mystérieux soldat anglais, ils découvrent un incroyable secret ……

Jours de Guerre

Jours de Guerre

Abel Faivre a fait partie des grands illustrateurs de l’Assiette au beurre. Il a également collaboré avec Le Rire et le Figaro et est devenu célèbre par ses affiches de propagande pour soutenir l’effort de guerre français. La plus célèbre d’entre elles :  « On les aura ».
« Jours de guerre » est en sorti en deux tomes. Nous vous proposons le premier volet (années 1915 et 1916). Percutant aussi bien dans ses mots que dans son coup de crayon, vous apprécierez le talent de cet impressionnant caricaturiste français. Chaque illustration est datée, ce qui permet de vivre les évènements tels que Faivre les percevaient à un instant précis.

De l'arrière au front

De l’arrière au front

Henriot, de son vrai nom Henri Maigrot, est né en 1857 à Toulouse. Il a travaillé pour de nombreux journaux satiriques (Le Pèlerin, Triboulet, l’Illustration, etc) et en 1899 il devient le directeur du Charivari.
Dans cet ouvrage, il décrit les préoccupations des hommes dans les tranchées, mais évoque aussi les relations humaines et les conséquences directes de la guerre. Il donne une vision générale de la guerre et va aborder l’aspect colonial, les tranchées, la société… Le style d’Henriot est d’époque, et permet facilement de s’immerger dans cette période de la grande guerre.

Georges Guynemer

Georges Guynemer

Il ne lui a fallu que deux ans et demi pour devenir une légende. Engagé volontaire alors qu’il avait été dispensé de service pour raisons de santé, d’abord simple élève mécanicien, Georges Guynemer est le premier pilote à être cité au communiqué officiel du Grand Quartier Général, après avoir abattu son cinquième ennemi en février 1916. Dans les mois qui suivent, les victoires s’enchaînent et il est proclamé as des as, promu capitaine puis officier de la Légion d’honneur. A vingt-deux ans à peine.
Pourtant la véritable histoire de celui qui a laissé son nom à d’innombrables rues, écoles et autres bâtiments publics reste mal connue, écrasée par une profusion d’hagiographies et d’ouvrages romancés.
Rédigé à partir d’archives pour une part inédites, notamment celles de la famille de Guynemer, cet ouvrage  cherche à dépasser le stade de l’épopée pour approcher celui de l’histoire, en soulignant les conditions qui ont permis la construction du « mythe Guynemer », notamment une aéronautique militaire embryonnaire à la recherche d’une figure de proue et une propagande qui tente d’humaniser un conflit, où l’on meurt surtout victime d’obus, sans voir le visage de son ennemi. Objet de culte, l’aviateur est élevé au rang d’icône nationale afin de maintenir le moral d’un pays entièrement mobilisé par l’effort de guerre, et d’offrir aussi bien aux « poilus » qu’à la population un héros d’exception, capable d’incarner le courage et la volonté, qualités présumées des Français.

Un champ de bataille Ploegsteert et Warneton 1914-1918 - Histoire et archéologie

Un champ de bataille : Ploegsteert et Warneton 1914-1918 – Histoire et archéologie

Après un siècle, les Belges vont découvrir ou redécouvrir un des théâtres d’opérations militaires de la Première Guerre mondiale s’étendant de la Mer du Nord à la Lys où trois armées, l’armée belge, l’armée française, l’armée britannique et ses alliés du Commonwealth affrontèrent l’armée allemande. La ligne de front va traverser le territoire de la ville de Comines-Warneton, ce qui en fait le seul territoire de la Wallonie actuelle qui a connu quatre années durant les affres des combats et la destruction totale de la région. La ville de Comines-Warneton est située au sud de la ville d’Ypres à environ douze kilomètres. Il en résulta que son sort fut étroitement lié aux affrontements qui s’y déroulèrent. Ce carnet évoque succinctement les grandes lignes des évènements que connut la région et dévoile les traces qui subsistent dans le paysage malgré les années et les activités qui les font disparaître.

Guerre inachevée, Paix manquée 1914-1918

Guerre inachevée, Paix manquée 1914-1918

Dans sa montée aux extrêmes la Première guerre mondiale n’aura connu ni vainqueur ni vaincu. Sur le front ouest les Allemands échouent quatre fois à remporter la victoire. La suite fut une paix ratée qui engendra plus de sang et de ruines. A l’origine de ce livre, il y eut le récit du père de l’auteur, engagé volontaire en 1914 à 18 ans, officier de troupe sur le front jusqu’à la fin de la guerre. Au-delà, l’auteur veut expliquer cette période tragique. Il souligne la nécessaire coopération entre la France et l’Allemagne dans une Europe commune.

La dernière division - Sacrifiée à Soissons pour sauver Paris (27 mai 1918 - 5 juin 1918)

La dernière division

Emergeant de la brume, des silhouettes casquées et grisâtres franchissent l’Ailette et s’emparent des crêtes du Chemin des Dames, sévèrement bombardées les heures précédentes. Trois jours plus tard, les Allemands atteignent la Marne et menacent Paris, comme à l’été 1914. Surpris, le commandement français doit improviser pour endiguer coûte que coûte la déferlante que personne n’attendait sur cette portion du front.
Avec « La dernière division », l’auteur, s’appuyant sur les archives officielles et les écrits inédits laissés par les protagonistes dont il a retrouvé les familles à l’issue de longues recherches, vous fait revivre heure par heure un épisode méconnu de l’histoire qui aurait pu modifier le cours de la guerre, à un moment où les Allemands bénéficiaient de la supériorité numérique, juste avant que les Américains n’entrent en lice.

NIEUPORT 1914-1918

Nieuport 1914-1918

Le commandant Robert Thys (1884-1964)
Robert Thys sort de l’Ecole Royale Militaire en septembre 1901 et est nommé en 1908 lieutenant au Génie du Génie et celles de lieutenant en 1908.
Incorporé l’année suivante au cadre de réserve, il complète sa formation et obtient le diplôme d’ingénieur civil électricien de l’Institut Montefiore à Liège.
La Compagnie des Sapeurs-Pontonniers
Jour et nuit, durant quatre longues années, les hommes du capitaine Thys intervinrent sans relâche, entre Nieuport-Bains et Boezingen, pour ouvrir des écluses partiellement détruites, les fermer et les réparer, pour renforcer les berges ou pour retirer des flots les madriers. Opérations pénibles, dangereuses et répétitives exécutées souvent sous les tirs de l’artillerie ennemie…

Mes cloîtres dans la tempête

Mes cloîtres dans la tempête

Le récit émouvant et sincère d’un officier d’artillerie, sur sa retraite de Liège (août 1914), son passage en Hollande (octobre 1914) et ses nombreux mois d’observation sur la tour d’ Oud-Stuivekenskerke.
Les réflexions d’un moine franciscain saisis de doutes et d’interrogations.
Le livre est complété par la charge de Tervaete et l’article d’Emile Vandervelde, Un moine guerrier.
Avec une préface de Mark Eyskens, ministre d’Etat.
Cette édition, enrichie de 2 cartes et de nombreux documents dont 25 photos de la collection Martial Lekeux, contient d’importantes notes de bas de page.

Les fusiliers marins sur le front de l’Yser 1914-1915

Les fusiliers marins sur le front de l’Yser – 1914 – 1915

Cette réédition des souvenirs de l’amiral Ronarc’h reprend le texte intégral paru aux Editions Payot en 1931. Le récit de ses mémoires relate la création de la Brigade, la participation à la défense de Paris, l’assistance à l’armée belge dans sa retraite vers la côte, la résistance à Dixmude en octobre 1914, les combats de Steenstrate et la défense du front de l’Yser à Nieuport jusqu’en novembre 1915.
Le livre est préfacé par le capitaine de vaisseau Philippe Vauterin, commandant de l’école des fusiliers marins.
L’introduction est d’André Gysel, historien à Dixmude.
Le livre rassemble 185  illustrations dont une centaine de photos prises par Jean Ronarc’h, neveu et ordonnance de l’amiral Ronarc’h, 13 cartes et 8 reproductions de lithographies de Charles Fouqueray.

La boue des Flandres

La Boue des Flandres

Le médecin bruxellois Maurice Duwez (1881–1966) avait déjà tâté de la plume avant-guerre sous le pseudonyme de Max Deauville.
Il restera sur le front de l’Yser, en première ligne, jusqu’ en novembre 1915, dans les secteurs de Dixmude, Lo et Lizerne. Ayant été gazé, il quitte le régiment des grenadiers en février 1916 et est évacué à l’hôpital de Saint Lunaire (Bretagne).
Il est affecté à l’Aérostation militaire de janvier 1918 à novembre 1918.

Jusqu'à l'Yser

Jusqu’à l’Yser

Le médecin bruxellois Maurice Duwez (1881–1966) avait déjà tâté de la plume avant guerre sous le pseudonyme de Max Deauville. Lors de l’offensive allemande de 1914, il a pris part, en tant que médecin de bataillon, à la retraite de l’armée belge, d’abord vers Anvers, puis vers le Westhoek. Il restera sur le front de l’Yser, en première ligne, jusqu’en novembre 1915, dans les secteurs de Dixmude, Lo et Lizerne.
Son récit a été publié dès 1917 chez l’éditeur parisien Calmann-Lévy.
Cette édition est enrichie d’une préface inédite de Norton Cru, d’un glossaire et de 70 clichés d’époque.

Ecrits de guerre

Ecrits de guerre – 1914-1918

Sous le signe de l’entente entre les peuples et les gens, et dans un esprit de réconciliation à la fois internationale et nationale, le Colloque a voulu réunir des conférenciers de diverses nations européennes , non seulement des Français (Claude Brulant et Nicolas Mariot), des Allemands (Gislinde Seybert et Thomas Stauder), une Italienne (Monica Biasiolo), une Espagnole (S.A.R. la princesse Maria-Teresa de Bourbon Parme), mais aussi des Belges (Laurence van Ypersele, Sophie De Schaepdrijver, Fabrice van de Kerchove et Pierre Schoentjes).

Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917

« Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917 et correspondances »

En cette année 2018 qui marque la fin du Centenaire de la Première Guerre mondiale, j’ai le plaisir de vous informer que je viens de faire éditer les mémoires et les lettres que le grand-père de mon mari envoyait à sa femme ainsi que d’autres qu’il recevait de ses amis durant la guerre de 14-18, sous le titre « Ma chère Marie-Thérèse, Journal du front 1914-1917 et correspondances ». Il était lieutenant au 38e régiment d’artillerie. Il a défendu la Patrie sur les terres de l’Artois en 1915. Son frère a laissé sa vie dans les tranchées de la Somme en juillet 1916. Un site est consacré à Ma chère Marie-Thérèse. Les articles qui s’y trouvent avec des extraits des mémoires et des lettres peuvent être enrichis par des commentaires.

Du Médoc à Salonique, le voyage de Joseph Pinet

Du Médoc à Salonique-Le voyage de Joseph Pinet 1914-1918

C’est au mois d’août 1914, à l’âge de 23 ans que Joseph Pinet est mobilisé au 10ème hussards en tant que Maréchal des Logis. Il quitte le petit port de Saint-Christoly de Médoc pour un long voyage qui durera quatre années. Il ne reviendra jamais dans son village natal car au mois d’octobre 1918 il décède d’une broncho-pneumonie à Salonique, il a seulement 27 ans.
Durant ce long périple, il n’a de cesse d’envoyer des cartes postales à sa famille afin de prendre de leurs nouvelles. De Tarbes à Salonique en passant par les Vosges, Verdun, Marseille, la Toscane et la Grèce, il raconte son voyage. Les entraînements, les tranchées, la pluie, le froid, les marches, la cavalerie, il découvre de nouveaux paysages, de nouvelles populations, il s’étonne, s’interroge, puis la chaleur arrive avec ses fièvres…

Je n'ai rien pu faire

Je n’ai rien pu faire

A la veille de ce 11 novembre 2018 je souhaitais rendre un dernier hommage à ceux qui ont été engagés dans cette terrible « boucherie » que fut la guerre de 14. Aux Poilus, à tous les Poilus, ceux qui pataugeaient dans la boue des tranchées. Ceux qui ont été reconnus morts pour la France mais aussi les autres, les non morts pour la France. Ceux qui ont eu la chance de revenir vivant mais parfois blessés dans leur chair ou dans leur âme. Cet hommage c’est ce roman « Je n’ai rien pu faire » qui se déroule pendant la deuxième guerre dans village où une partie de la population reste marquée par la guerre de 14. Première présentation le 10 novembre à Souillé (72) lors d’une soirée consacrée aux fusillés de la première guerre.
Ce roman se passe pendant la seconde guerre mais le personnage principal va mener une enquête sur des événements qui ont eu lieu pendant la première.