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Je n'ai rien pu faire

Je n’ai rien pu faire

A la veille de ce 11 novembre 2018 je souhaitais rendre un dernier hommage à ceux qui ont été engagés dans cette terrible « boucherie » que fut la guerre de 14. Aux Poilus, à tous les Poilus, ceux qui pataugeaient dans la boue des tranchées. Ceux qui ont été reconnus morts pour la France mais aussi les autres, les non morts pour la France. Ceux qui ont eu la chance de revenir vivant mais parfois blessés dans leur chair ou dans leur âme. Cet hommage c’est ce roman « Je n’ai rien pu faire » qui se déroule pendant la deuxième guerre dans village où une partie de la population reste marquée par la guerre de 14. Première présentation le 10 novembre à Souillé (72) lors d’une soirée consacrée aux fusillés de la première guerre.
Ce roman se passe pendant la seconde guerre mais le personnage principal va mener une enquête sur des événements qui ont eu lieu pendant la première.

1561 jours

1561 jours

Dans le cadre, des commémorations du centenaire de la guerre 14-18, un ouvrage unique en son genre de 5 tomes est publié.
Dans 1561 jours, le Général Renaud Ancelin signe une rétrospective inédite de la guerre de 14-18. Enrichi de nombreux contenus numériques (cartes, photos), 1561 jours propose de plonger dans le quotidien de la guerre au côté des soldats, des civils, des gouvernements.
Nos Héros oubliés

Nos Héros oubliés

Victor MARBEHANT, blessé mortellement au champ d’honneur sur le secteur Boesinghe-Steenstraete après 4 ans de don de sa personne pour la patrie, est décédé le 26 mai 1917. Il allait avoir 24 ans

Guerre, captivité, évasion

Guerre, captivité, évasion

Guerre, captivité, évasion. Récits et documents d’un caporal du 99e régiment d’infanterie. Fait prisonnier le 22 août 1914 à Rothau, en Alsace, P. Fauverge tente de s’évader à de multiples reprises, ce qui lui vaut de connaître les camps de représailles. Il parvient à ses fins, au printemps 1918, rejoignant la Suisse. Il a conservé de nombreuses photographies, des cartes et des documents sur les camps. Héritier de ces archives, son arrière-petit-fils a tenu à les partager

Des tranchées au stalag

Des tranchées au stalag

Une famille française marquée par deux guerres.
La correspondance d’un jeune couple et de ses proches nous plonge au cœur de la vie d’une famille de parisiens croyants durant le début de la première guerre mondiale. Ce sont les misères, difficultés, les attentes et espérances des civils qui sont relatées au fil des lettres, ainsi qu’un reflet réaliste de la vie des tranchées.
Une génération plus tard, leur fils vivra, à son tour, les souffrances liées à la seconde guerre mondiale, une captivité de cinq années en Allemagne. Son journal et ses écrits racontent la vie difficile, parfois entrecoupée de moments plus détendus, au stalag.

Entre les lignes

Entre les lignes

En 1871, l’Allemagne a annexé l’Alsace-Lorraine. Mais si elle l’a conquis « matériellement », elle n’a pas pour autant réussi à conquérir le cœur de nombreux Alsaciens-Lorrains. En décembre 1917, Charles, Alsacien-Lorrain de 19 ans, est incorporé malgré lui, comme 380.000 autres, qui porteront l’uniforme vert-de-gris de l’armée Allemande. 
A partir de ses carnets de guerre, Charles décrit sa participation aux grandes batailles de 1918, qui le conduiront, jusqu’à la bataille de bois Belleau, « dans la gueule du loup » à 80 kilomètres de Paris, où les alliés reprendront l’offensive et pourchasseront les troupes allemandes jusqu’à la victoire finale. 
Charles livre également ses sentiments les plus intimes pour une jeune Française rencontrée pendant cette période, sur les lignes arrières du front, dans la ville de Laon. 
Cent ans après la fin de la Grande guerre, ses petits-enfants ont voulu achever en sa mémoire son ouvrage. 
Ce livre n’est pas une fiction, tous les faits décrits ont bien existé.
Il est distribué dans le réseau hachette et sur bookelis 

JOURS DE GUERRE

Jours de guerre

En faisant publier ces histoires en 5 tomes, il réalise un grand rêve : celui de faire partager sa passion au lecteur pressé qui trouvera plaisir à lire et à apprendre, tout autant que les visiteurs des lieux de mémoire à situer et à comprendre et les chercheurs à appréhender avec vérité cette période cruciale de l’Histoire du Monde.

La symphonie héroïque, poèmes

La symphonie héroïque

Ce recueil, traversé d’un souffle épique, est une évocation vibrante et lyrique de la vie et de la mort des poilus de la Grande Guerre. Le poète y témoigne des souffrances et des espoirs de cette génération sacrifiée, du départ pour le front au dernier coup de feu avant l’armistice et dénonce l’absurdité de cette guerre et l’imposture cynique de ceux qui la glorifient. Le poète réussit à tirer le durable du quotidien et à élever en exemple le fait divers pour dire au plus intime de notre être combien à la raison des armes les armes de la raison.

A l'ouest rien de nouveau

A l’ouest rien de nouveau

Témoignage d’un simple soldat allemand de la guerre 1914-1918, A l’ouest rien de nouveau, roman pacifiste, réaliste et bouleversant, qui connut, dès sa parution en 1928 un succès mondial retentissant et reste l’un des ouvrages les plus remarquables sur la monstruosité de la guerre.

Apitxi mon héros

Apitxi mon héros

Août 1919. Le soldat Martin Michelena revoit, ému, les flèches de la cathédrale de Bayonne. Enfin, il rentre chez lui, neuf mois après l’Armistice. Fermera-t-il le livre de l’enfer du front ? Oubliera-t-il Verdun, le Chemin des Dames, ses compagnons d’armes ? Non. Il les portera en permanence et les évoquera en famille. Francis, son petit-fils, se passionne pour ces récits, particulièrement l’histoire extraordinaire du lancer de grenades au joko-garbi aux côtés du Champion du monde de pelote basque, Chiquito de Cambo.
Les cérémonies du centenaire de la Première Guerre mondiale encouragent Francis à partager les mémoires de son grand-père. Dans ce roman, Apitxi, mon héros ! se croisent le quotidien de la guerre, la vie d’une famille basque dans une ferme d’Ustaritz, les exploits de Chiquito de Cambo.

Accordements, une valse en trois temps

Accordements, une valse en trois temps

La toile de fond : les premiers fronts de 1914. Les hommes se sont entremêlés dans l’horreur que l’on sait. Le lecteur va pourtant retenir la petite musique aigrelette de cette danse d’un soir, car son écho résonne encore sur les années

La Grande Guerre à 18 ans Le témoignage de Paul

La Grande Guerre à 18 ans Le témoignage de Paul

Pendant la Grande Guerre, l’être humain a utilisé son savoir afin de détruire son prochain en prétextant une noble cause : la paix. Paul, 18 ans, se retrouvera happé par le devoir civique et rendra compte de son quotidien pendant quatre ans et demi. De plus, entre chaque année du récit, l’auteur, le fils du soldat, a rappelé la situation politique en France et dans les autres pays. Un témoignage à transmettre de génération en génération.

Journal de Séraphine Pommier infirmière pendant la Grande Guerre 1914-1918

Journal de Séraphine Pommier infirmière pendant la Grande Guerre 1914-1918

Dès les premiers combats d’août 1914, les pertes sont élevées et le ministère de la Guerre, les services de Santé, la Croix-Rouge créent ensemble 1500 hôpitaux auxiliaires. Une jeune femme de la bourgeoisie lyonnaise se demande comment elle pourrait servir son pays envahi par les « Prussiens » : « Je sentis plus que jamais le besoin de me dévouer et de faire quelque chose » écrit-elle sur un cahier d’écolier. Elle est recrutée comme infirmière bénévole à l’hospice de Meximieux, dans l’Ain, devenu hôpital militaire n°9, puis au lycée de garçons Ozanam de Lyon, hôpital n°21. Elle a la bonne idée de tenir de septembre 1914 à fin décembre 1918 un journal quotidien car tout l’étonne dans ce métier nouveau pour elle : le brassage des Poilus venus de toutes la Franc e et de l’Empire, la pharmacopée où se mêlent le vin aromatisé ou la pommade des Reclus et le Dakin qui vient d’être inventé, les prothèses de plus en plus élaborées pour les blessés, les concerts caritatifs et les loisirs dans les hôpitaux, les pénuries alimentaires, l’accueil des prisonniers et des réfugiés, les visites aux blessés, les relations avec les infirmiers et les brancardiers, etc. La figure héroïque du Poilu, les pieds dans la boue de sa tranchée, s’enrichit d’une autre réalité sous la plume bienveillante de Séraphine. « Le médecin soigne les blessures. Nous, nous soignons les hommes. » écrit-elle.
Le Journal de Séraphine Pommier, infirmière pendant la Grande Guerre (1914-1918) a été réalisé à partir de 1800 pages de cahiers d’écolier desquelles ont été extraites et annotées quelque 300 pages, illustrées de 19 croquis de sa main et de 10 photos qu’elle a prises.

les dernières heures du monde d'avant

Les dernières heures du monde d’avant

Ce roman retrace la dernière journée de l’archiduc d’Autriche François-Ferdinand, dont l’assassinat à Sarajevo le 28juin 1914 fut un des marqueurs qui déclencha la Première Guerre mondiale et est présenté comme l’acte de naissance du XXe siècle
Conduit comme une enquête policière, autour du jeune Gavrilo Princip – l’assassin serbe –, ce roman polyphonique permet de suivre les évènements de cette journée à travers les yeux de François-Ferdinand, et en parallèle, à l’aide d’une série de personnages fictifs ou historiques, il analyse l’engagement ténébreux de Gavrilo Princip, embrigadé par l’Union et la Mort, une société secrète qui a notamment pour objectif la libération des terres serbes et prépare donc son opposition à l’annexion de la Bosnie par l’Empire autrichien.
Ce n’est rien ! furent les derniers mots de l’archiduc, touché par balles ainsi que son épouse, l’archiduchesse Sophie.

LETTRES DE GUERRE D'UN ARTILLEUR

Lettres de guerre d’un artilleur

Le jeune étudiant originaire de Maisons-Laffitte qui s’engage la mairie de Versailles, le 9 décembre 1914, pour la durée de la guerre, pouvait-il imaginer qu’il ne connaîtrait le retour la vie civile qu’en septembre 1919, avant d’être nouveau mobilisé, vingt ans plus tard ?
Les quelque deux cents lettres sélectionnées dans ce livre couvrent, pour l’essentiel, la période où Maurice Ferrant se trouve sur le front, entre août 1915 et février 1916, au 3e puis au 114e régiment d’artillerie lourde, pendant la campagne des Vosges, ainsi que les moments cruciaux de mai juin 1940, alors qu’il sert au 407e régiment d’artillerie antiaérienne de Paris.

« Évidemment, je pourrais écrire l’endroit où je suis, mais cela vaut un mois de prison ou des arrêts de rigueur.
Et vous ne seriez pas plus avancés pour cela. »
26 octobre 1915

Alfred Dreyfus

Alfred Dreyfus, officier en 14-18

Bien qu’âgé de 55 ans en 1914, l’officier réserviste Alfred Dreyfus est mobilisé durant toute la Grande Guerre et participe notamment aux dramatiques combats du Chemin des Dames au printemps 1917, placé alors sous les ordres d’un colonel antisémite et militant de « L’Action Française ». À la fin des hostilités, il commandera le Parc d’Artillerie de la 5e Région militaire, à Orléans.

Ta femme qui t'aime

Ta femme qui t’aime

Parti du Marais Poitevin en août 1914, François Hippolyte Benéteau a 32
ans quand il quitte femme et enfants pour rejoindre la ligne de front. Comme tant
d’autres, il laisse ses vêtements d’agriculteur pour l’uniforme militaire. Malgré son
âge et 5 enfants, il passe de la territoriale à l’active. Au sein de sa compagnie du
167ème Régiment d’Infanterie, Les Loups du Bois-le-Prêtre, il engage le combat dans
l’une des zones les plus meurtrières de la Première Guerre mondiale…

Paul Daum, maître verrier de l'Art Déco

Paul Daum, maître verrier de l’Art Déco

Cet ouvrage, fruit de plusieurs années de recherches, s’attèle à reconstituer le
parcours de ce personnage hors du commun qui, durant toute son existence, a
pratiquement vécu plusieurs vies. Il fut comblé d’honneurs de 1914 à 1918,période
durant laquelle il a servi dans l’aviation et côtoyé des légendes comme Georges
Guynemer et Roland Garros. Il a fait triompher la verrerie dans de nombreuses
expositions aux côtés d’artistes renommés.

Dans les boyaux et autres petites histoires, Xavier LHOMME

Dans les boyaux

Au fil des histoires, Xavier Lhomme nous fait pénétrer de plain-pied dans la boue des tranchées. Grâce à un vocabulaire précis et des recherches poussées sur le sujet, l’auteur nous fait vivre la « Grande Guerre » comme si nous devions rejoindre notre régiment dès demain, et partager le pain et l’espoir de ces hommes et de ces femmes, dont les vies mutilées hantent notre Histoire.

Extrait :
« Je m’appelle pas Imbécile et je m’appelle pas Gros lard.
Dans la grange rafistolée, un grand et gros jeune soldat aux joues rouges se tient debout devant une table formée d’une porte en bois posée sur deux tréteaux. Il est crotté jusqu’aux genoux et sa capote ruisselle. Assis de l’autre côté, le lieutenant lève à peine le nez du cahier dans lequel il continue à écrire.
– Le gros lard imbécile, il va commencer par m’appeler mon lieutenant, et il va me dire son nom… ».

Lettres et notes du temps de la Grande Guerre, François Duine

Lettres et notes du temps de la Grande Guerre

Constitué d’impressions et faits saisis sur le vif, fixés, tant par la plume de l’auteur, qu’à travers des lettres et échanges avec des interlocuteurs d’âges et conditions sociales fort variés, l’ensemble se lit comme un film documentaire bien rythmé, laissant l’empreinte d’un certain recul sur ces années 14.19+. Si les horreurs et misères ne manquent pas, l’humour, fut il désabusé, trouve aussi sa part !

CHAMPS DE PAIX

Champs de paix

Par la puissance et la beauté de ses mots, illustrés de photographies d’époque, Patrick Charriez réalise dans ce livret une magnifique ode poétique à la mémoire des combattants de la Grande Guerre et à la Paix.
Le texte se compose de trois parties : champs de guerre, forêts de vie et champs de paix, chants d’amour.

la grande guerre à 18 ans

La Grande Guerre à 18 ans

Mobilisé à 18 ans, Paul Pourcelot va se retrouver plongé dans un terrible univers : les tranchées, les fils barbelés, le feu de la mitraille, la mort des camarades, les bombardements incessants, les factions de nuits, les tranchées inondées, le froid, les rats, les poux, les blessures, les gaz, pendant plusieurs années. Il restera de nombreux mois sans voir sa famille, ou un civil. Dans son carnet de notes retrouvé récemment, il a su faire un compte-rendu précis et plein de pudeur de son activité journalière, n’évoquant presque jamais les morts, les doutes, le désespoir.

sauver mes hommes

Sauver mes hommes

Le commandant Frédéric Wolff, malgré son statut d’officier supérieur dans l’armée française, n’a pas échappé à cette justice expéditive qui a envoyé au poteau des centaines de soldats français. Fusillé le 1er septembre 1914, le jour de son passage devant le conseil de guerre, il a justifié la faute qui lui était reprochée par le fait que c’était le seul moyen de sauver ses hommes. Qui était Frédéric Wolff et comment cet officier supérieur de 45 ans a-t-il pu finir sous les balles françaises ?